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gynécologie

Les pathologies gynécologiques non cancéreuses et cancereuses.
Ou toutes les maladies qui touchent l’appareil génital féminin.

Endométriose

L’endométriose

QUAND LES DOULEURS RYTHMENT LA VIE

L’endometriose est une maladie gynécologique inflammatoire chronique fréquente qui touche 10% des femmes. Elle se caractérise par « la présence en dehors de la cavité utérine de tissu semblable à la muqueuse utérine qui subira, lors de chacun des cycles menstruels ultérieurs, l’influence des modifications hormonales » (https://www.endofrance.org). 

Comme toutes autres pathologies, il peut être essentiel d’avoir un espace thérapeutique ou exprimer toute la charge traumatique douloureuse. 

L’adénomyose

L’ENDOMÉTRIOSE INTERNE À L’UTÉRUS

Il s’agit d’une anomalie de la zone de jonction entre l’endomètre et le myomètre qui va laisser les cellules de l’endomètre infiltrer le myomètre. Elle peut être superficielle ou profonde et douloureuse.

C’est une pathologie fréquente et bénigne au sens médical du terme, c’est à dire qu’elle n’impacte pas le pronostic vital. Néanmoins, certaines formes d’adénomyose peuvent être extrêmement douloureuses et invalidantes au quotidien. 

Comme pour toutes maladies gynécologiques, il est possible de travailler sur les réseaux mémoires corporels douloureux en EMDR.

Adénomiose
SOPK

Syndrome des Ovaires Polykystiques (SOPK)

UN TROUBLE FRÉQUENT, ET LA PREMIÈRE CAUSE D’INFERTILITÉ FÉMININE

Maladie hormonale la plus fréquente chez les femmes en âge de procréer. C’est la conséquence d’un dérèglement hormonal d’origine ovarienne et/ou centrale (au niveau du cerveau). Il entraine une production excessive d’androgènes, en particulier de testostérone, habituellement produites en petite quantité dans l’organisme féminin.

Le SOPK touche environ 10% des femmes, mais ces symptômes sont très variables d’une patiente à l’autre : la maladie peut se manifester de manière très légère, comme être très handicapante. De manière générale, on note des cycles irréguliers, de l’hyperpilosité et des troubles du métabolisme.

Infertillité

QUAND LA DIFFICULTÉ À CONCEVOIR UN ENFANT NOUS TOUCHE.

L’infertilité est la difficulté à concevoir un enfant. La probabilité de survenue d’une grossesse au cours d’un mois ou d’un cycle menstruel, chez un couple n’utilisant pas de contraception, est de l’ordre de 20 à 25%.

On parle d’infertilité en cas d’absence de grossesse malgré des rapports sexuels non protégés pendant une période d’au moins 12 mois. 15 à 25% des couples sont concernés.Ces chiffres tombent à 8% – 11% après deux ans de tentative.

Il est à noter qu’entre un tiers et la moitié des grossesses surviennent après six mois de tentatives.

infertilité
cycle menstruel

Cycle menstruel

QUAND NOTRE CYCLE DEVIENT L’ENFER SUR TERRE.

Notre cycle menstruel est une période qui démarre au premier jour des règles et qui se termine au premier jour des règles suivantes. Cette période est ponctuée de 4 phases bien distinctes, qui ont chacune un rôle à jouer dans l’accueil d’une éventuelle grossesse.Quand ces phases se succèdent de manière fluide, sereinement on parle de cycle physiologique. Mais parfois des douleurs et des déséquilibres s’invitent transformant notre cycle menstruel en enfer : on parle de cycle pathologique.

Le plus connu est le SPM (Syndrome PréMenstruel). Ses symptômes sont nombreux et varient énormément d’une personne à l’autre et même d’un cycle à l’autre. Il y a le trouble dysphorique prémenstruel (TDPM). Celui-ci est beaucoup moins connu, pourtant il est très violent et peut être extrêmement difficile à vivre pour les personnes qui en souffrent. Tristesse extrême, dépression, grande détresse, colères d’une violence inouïe, tous ces symptômes poussent certaines femmes à faire des tentatives de suicide. Et ils disparaissent avec l’arrivée des règles. Pour plus de renseignements, rendez-vous avec le Mouvement Kiffe ton cycle, de Gaëlle Baldassary.

Cancer du féminin

Ou les cancers gynécologiques

Des cancers peuvent se développer dans n’importe quelle partie des organes génitaux de la femme : la vulve, le vagin, le col de l’uterus, l’uterus, les trompes de Fallope ou les ovaires. Il peut aussi s’agir de cancer du sein.

Comme toutes maladies, un soutien psychologique peut-être aidant et vous accompagner, depuis l’annonce de diagnostic, tout au long des protocoles de soins, et dans la phase de rémission.

cancer du sein
Violences gynecologiques

Violences gynécologiques

Quand le soin devient maltraitant

Il s’agit de paroles, ou d’actes médicaux gynécologiques (ou obstétricaux) inappropriés ayant pour conséquences des douleurs physiques ou des souffrances psychiques. Un soin médical est basé sur l’information préalable, le recueil du consentement et le respect de l’intimité et de la dignité.

Une violence gynécologique peut être vécu comme un abus, comme un traumatisme. L’EMDR en cas de stress aigu ou d’état de stress post traumatique est plus que encouragé.

 

Abus sexuels

Ou nommer l’impensable.

Puni par la loi, les agressions sexuelles peuvent avoir plusieurs visages : avec ou sans contact physique, avec ou sans pénétration. Quoi qu’il en soit, les séquelles physiques et psychologiques sont graves. Les états de stress post traumatique, avec sidération et dissociation sont souvent observés par la suite. Un suivi psychologique et une prise en charge en EMDR pour la victime est essentiel pour survivre à cet innommable.

Abus sexuel